Histoire du Jumpstyle et l’evolution au Hard-dance Guillaume, 14 mars 202130 avril 2023 Voici toutes les informations sur l’histoire du jumpstyle et l’évolution vers le Hard-dance. Da Boy Tommy, le pere du Jumpstyle Da Boy Tommy (né le 18 mai 1976 , Tommy Debie de son vrai nom) est un Dj belge de Jumpstyle . Il est considéré comme le fondateur de ce style. Da Boy Tommy est partenaire avec Da Rick . Da Boy Tommy n’était pas familier avec ses premiers morceaux. Mais depuis Octobre 1999 cela a changé : 31 Octobre spécialement pour Halloween, il sort le single à partir de laquelle plus de 45.000 exemplaires ont été vendus en Flandre. “Halloween” est devenu l’un des plus gros succès de 1999. En Février 2000, il a publié un second single extrait de: “Candyman”. Il la vendu encore mieux que “Halloween”. Da Boy Tommy a appelé son propre musique “jumperkes”, d’où le nom par la suite Jump / Jumpstyle. En Février 2007, Tommy devient le premier père de ce style. Malheureusement, il a été victime le 10 Novembre 2012 d’un accident de la route. Il était depuis lors maintenant dans un coma artificiel à l’hôpital Sint-Jan de Bruges. Sa mort a été confirmé le 24 Février 2013. Sa discographie Da Boy Tommy – Little Dicks (1998) Da Boy Tommy – Easy (1998) Da Boy Tommy – Halloween (1999) Da Boy Tommy – Candyman (2000) Da Boy Tommy – Jetlag (2000) Da Boy Tommy – Kol Nedra (2000) Da Boy Tommy – Full Moon (2000) BZB Feat Da Boy Tommy – The Beginning (2000) Da Boy Tommy Feat The Jumpers – Da Real Jumpstyle (2001) Da Boy Tommy – Amen (2001) Da Boy Tommy – Little Dicks 2001 (2001) Da Boy Tommy – Jumpin ‘Bells (Jingle Bells) (2001) Da Boy Tommy – Dead People (2002) Da Boy Tommy – Halloween 2004 (2004) Da Boy Tommy – Kol Nedra 2005 (2005) Ecouter ses deux premiers succès : Candyman Halloween Site officiel de Da Boy Tommy & Da Rick : http://www.da-rick.com Le style Jumpstyle : les informations Le Jumpstyle est une danse composée de petits sauts effectués sur le tempo (défini par la fréquence du kick). Lorsque les pieds du danseur touchent le sol, ils sont soit joints (marque le début de la danse, souvent deux temps avant un couplet de chanson), on dit que le danseur a sauté sur place, soit écartés vers l’avant et l’arrière (pied gauche en avant, pied droit en arrière, et inversement). La première variante est d’avoir un pied, au choix, au sol et l’autre en l’air, le genou légèrement plié. Voici un exemple très concret: Ce style de danse a attiré un certain nombre de fans au niveau international grâce, entre autres, aux vidéos en ligne de Patrick Jumpen où il montrait comment réaliser les premiers pas de base et plusieurs de ses chorégraphies . Bref, avec internet, le Jump s’est propagé partout dans le monde, et, avec le temps, deux grosses variantes du Jumpstyle se sont créées : – le Hardjump se dansant sur du Hardstyle (Comprend plusieurs variantes : Freestyle, Sidejump, Ownstyle …) – le Tekstyle se dansant sur de la musique Tek & Jump . Les variantes de Jumpstyle Le Hardjump : Le Hardjump est une variante “aggresive” du jumpstyle, se dansant sur du Hardstyle ce style comprend plusieurs variantes et évolutions (freestyle,sidejump,ownstyle,..) . Au début, le style était très basique mais il évolua peu a peu vers le hardjump dit ” freestyle ” comprenant quelques variantes et légèrement plus de finesse. Mais ce style fut effacé par l’arrivée du tekstyle et beaucoup ont cru à la mort du hardjump, mais c’est dans les pays de l’est (Pologne, Russie, .. ) que le style retrouve un nouveau souffle , ils inventèrent un mélange de hardjump et de tekstyle nommé Ownstyle (ou encore sidejump) se dansant sur du hardstyle . Ce style eut un gros succès à travers le monde et depuis lors de nombreuses league, concours et association se sont regroupés autour. Le Tekstyle ou startstyle : Le tekstyle désigne l’évolution technique du jump. Inventée en 2006 en Belgique au célèbre club le “Complex” , elle se danse sur de la musique ” tek & jump ” et s’inspire de danses diverses comme lebreakdance, le hip-hop et bien d’autres… Le tekstyle est une danse qualifiée de “Freestyle” où tout type de pas est adaptable ; les Tekstylers n’hésitent pas à repousser toujours plus loin les limites de leur art et incorporent des saltos, des sauts divers, des mouvements de breakdance et plusieurs autres prouesses à leurs danses. Les danseurs de tekstyle sont généralement appelés tekstylerz ou encore tekkerz. Au tout début de son existence, cette danse portait le nom de Starsstyle parce qu’il venait de la boîte de nuit le ” Stars ” (ancien complex), après le style porta le nom de Tekstyle car il provenait de la Tekroom (salle tek du complex) et qu’il se dansait sur de la musique Tek. Médias : Reportage sur le jumpstyle dans l’émission Tracks sur Arte Hardstyle (selon wikipedia) : Le hardstyle est un style de musique électronique caractérisé par un kick lourd et un tempo généralement basé à 150 BPM1. Le style est apparu au début des années 2000 principalement aux Pays-Bas et en Belgique et s’est plus tard développé dans certains pays d’Europe tels que l’Italie et l’Allemagne. Prenant une part de mélodie à la hard trance (pouvant aller de sombres et sinistres à joyeuses et festives), tout en reprenant un rythme plus rapide et des basses plus agressives (distordues, mais dans une moindre mesure que le gabber). Il existe trois variétés (les styles étant hardest hard et harder) différentiables dans le hardstyle : le hardstyle hollandais et belge (Dj Coone, The Prophet, Zany, Showtek, Noisecontrollers, Headhunterz, Wildstylez, Brennan Heart, Psyko Punkz, Frontliner, Alpha², Gunz For Hire, Second Identity, Digital Punk, etc.), le hardstyle italien (Technoboy, Tatanka, Zatox, Activator, DJ Stephanie, Tuneboy, The R3belz, etc.) et le hardstyle australien (Toneshifterz, Bioweapon, Code Black, etc.) Le hardstyle hollandais / belge est un hardstyle plus lourd, reprenant souvent des basses et des percussions plutôt à sonorité hardcore et par conséquent, il est souvent exposé un côté sombre. Par contre, les mélodies sont produites avec des synthétiseurs plus doux à l’oreille qu’un synthétiseur italien. Le hardstyle italien, quant à lui, est beaucoup plus agressif, surtout dans les mélodies de base qui utilisent la répétition violente de « hard sounds ». La mélodie est tout aussi présente que dans le hardstyle hollandais, avec de la même manière des sons un peu plus agressifs. Le hardstyle australien est beaucoup moins agressif. Il se base plus sur la mélodie du synthétiseur. Il est quelque fois plus agréable à entendre. Histoire